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Chapitre II : L'hétérodoxie
Page 2 / 18 - La dent est un fusible

 


 

 

 

 

 

LA DENT FUSIBLE

 

Les maladies génétiques sont l’expression au niveau individuel de troubles archétypiques enfouis dans l’inconscient collectif.

La symbolique propre à chaque individu en fonction de son inné inconscient et de ses acquis culturels et physico-psychologiques, s’exprimera maladivement

En utilisant  leur référentiel psychosomatique reliant chaque organe chaque fonction qu’elle s’exprime dans un seul organe ou plusieurs, chaque articulation ou segment de membre en fonction du rôle très précis qui lui est dévolu de façon symbolique.

Cette notion de référence psychosomatique à des schémas préorganisés  capables d’expliquer aisément la localisation d’une maladie dite psychosomatique est totalement étrangère à l’allopathie mais se trouve extrêmement  bien structurée dans la médecine traditionnelle chinoise (MTC).

 

Dérivation : dent fusible

 

La physiopathologie lors de l’émergence au niveau dentaire d’une lésion.

Une lésion dentaire est le reflet d’une perturbation profonde humoro-métabolique ou somatopsychique ayant eu un point de départ fonctionnel, et représente une tentative d’auto-traitement de l’organisme essayant, de pallier à une déficience d’adaptation en évitant l’atteinte organique d’un système.

La lésion dentaire représentant en cela un fusible de dérivation. de l’évolution ,du retentissement de la maladie.

Ce trouble local va évoluer différemment suivant la thérapeutique.

En l’absence de traitement :

L’évolution va se faire sur un plan loco-régional avec possibilité de trouble général par infection, dissémination infectieuse, nécrose tissulaire.

En cas de traitement :

S’il n’est pas toxique,

Celui-ci, en éliminant l’aspect fusible de la lésion dentaire va favoriser le trouble de départ qui se renforcera et, n’ayant plus l’exutoire odontostomatologique, pourra devenir lui-même organique ou se manifester différemment.

S’il est toxique

Comme dans l’immense majorité des cas, il va favoriser le trouble régional qui se manifestera par

Une douleur rapportée,

Une douleur projetée

Un trouble de l’articulé

Un dépassement de pâte dentaire

Les troubles apicaux et les parodontopathies

Les édentations

Le trouble général qui se développe dans un second temps par

Trouble de posture

Intoxication aux métaux lourds

Polymétallisme

Va lui-même être susceptible de renforcer l’anomalie qui lui a donné naissance.

Ainsi le traitement purement local, dans le meilleur cas, c’est à dire s’il n’est pas toxique, renforce la cause qui a donné naissance à la lésion dentaire, en empêchant la dent de jouer son rôle de fusible, dans le pire des cas, c’est à dire s’il est toxique, ajoute une symptomatologie nouvelle à celle qu’il renforce encore en privant néanmoins la dent de son rôle de barrage, de déviateur, de fixation vis à vis de la maladie.

C’est ce rôle bien connu des anciens de «fixation» qu’ils faisaient jouer aux abcès artificiels qui évitaient que la bactériémie ne déborde les défenses, avant l’avènement des antibiotiques, avec un coefficient de succès suffisant pour nourrir la réflexion. .

 

La dent est un fusible qui agit en deux temps

 

Il existe deux phases

La Ière infraliminale, subliminale correspond aux informations nociceptives non perçues sous forme douloureuses émanant de la loge dentaire à partir d’une aire afférente qui vont provoquer un recrutement douloureux anti-dromique à l’origine de la douleur projetée.

L’attitude antalgique qui se développe alors va faire intervenir un réflexe myotatique par la boucle Gamma qui va induire un spasme irréversible à l’origine d’un DIM qui va institutionnaliser le phénomène névralgique en rajoutant un facteur mécanique lésionnel.

Il s’agit alors de la phase supraliminale puisqu’un processus douloureux conscient perceptible se surajoute au phénomène purement réflexe initial avec des informations en retour correspondant à une douleur dont l’origine rachidienne devient objectivable cliniquement et spontanément perceptible.

Les deux phénomènes s’intriquent étroitement en un cercle vicieux et seul le traitement concomitant du foyer dentaire infraliminal et du foyer lésionnel mécanique rachidien permettra le dénouement.

 

De l’archétype au symbole.

 

Les troubles locaux strictement  dentaires d’apparence liés à l’hérédité, aux anomalies congénitales, comme les dents manquantes, les défauts d’implantation, les inclusions dentaires sont des anomalies liées, de par leur caractère génétique, aux fonctions archétypielles auxquelles elles renvoient. Elles sont le fusible qui sautera pour organiciser, somatiser une maladie, spécialement au moment de la maturation psychologique de la puberté et de l ‘organisation symbolique du sujet mais également tout au long de la vie en se  manifestant par un trouble général en fonction de cette symbolique, sur telle ou telle cible organique.

 

Edentés

 

Presque tous les mammifères et même ceux que l’on appelle à tort,  les édentés possèdent des dents ;

Celles ci sont implantées dans des alvéoles et comprennent une racine que surmonte une couronne.

Elles sont localisées sur les mâchoires où elles forment une rangée unique qu’elle soit continue ou discontinue.

Les dents sont rarement toutes semblables comme chez les édentés ou les dauphins et diffèrent les unes des autres suivant la place et la fonction qu’elles occupent.

Au maximum de complication existent les incisives, les canines, les prémolaires et les molaires.

Le plus souvent, les mammifères ont successivement deux dentures, la première dite de lait et la deuxième  dite définitive, au cours de la vie.

 

 

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